Réalisation:
Stuart WalkerScénario:
John ColtonPhotographie:
Charles J. StumarMusique:
Karl HajosActeurs·trices:
Henry Hull, Warner Oland, Valerie Hobson, Lester Matthews, Lawrence Grant, Spring Byington, J.M. Kerrigan, Ethel Griffies, Zeffie Tilbury (plus)Résumés(1)
Lors d'une expédition au Tibet, le docteur Glendon est attaqué dans le noir par une bête étrange. De retour à Londres, il se transforme les soirs de pleine lune en loup. Pour vaincre la malédiction, il se met à la recherche d'une fleur asiatique extrêmement rare. (Elephant Films)
Critiques (3)
Le sujet lui-même avec les fleurs qui fleurissent au moment du sacrifice, ainsi que toute l'exposition exotique du début du film promettent beaucoup, mais trop de dialogues inutiles de personnages secondaires ultérieurs (surtout deux vieilles alcooliques) et l'absence totale de décors nocturnes de Londres, sur lesquels il aurait été possible de construire magnifiquement, affaiblissent tout. Le film est plutôt une histoire intérieure et en chambre, ce qui ne serait pas dérangeant si sa profondeur dramatique n'était pas affaiblie à la fois par les "dialogues superflus" mentionnés et par la présence incompréhensible de l'humour. ()
Why on earth didn’t I study botany? I could have traveled to exotic climbs, interacted with mystical creatures and beautiful women, drunk gin with alcoholic old ladies with an absurdly black humor view of life and experienced nighttime life with the full moon in London. But, thanks to Universal I realized mistake in time. And now I’m going to sign up for a gardening course, at least. ()
Werewolf in London is really just a nice mainstream movie; it doesn't have a completely bad werewolf mask, but it doesn't stand out significantly in this regard either. The film aimed to entertain audiences in theaters, which it probably succeeded in doing. It hasn't lost much of its humor even today. It lost everything from its horror aspect, though, which I think is quite a shame because werewolf movies also deserve to evoke fear in viewers. ()