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Dans la Pologne de 1987, un officier de police enquête sur de mystérieuses disparitions et infiltre un monastère isolé. Il découvre alors une réalité sinistre. (Netflix)

Critiques (7)

Goldbeater 

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français L’ensemble pâtit légèrement de la faiblesse du protagoniste central et de la lenteur du démarrage, mais ces deux points se révèlent un atout au moment du final, car ils contribuent à l'efficacité de celui-ci. En conclusion, on peut dire que L’Abîme de l’Enfer est un film de genre très solide qui fonctionne aussi bien comme film d’horreur satanique que comme satire religieuse et que les Tchèques ne peuvent qu’envier à leurs voisins du Nord. ()

POMO 

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français Film, qui après une heure de perplexité parmi le public, parvient plus ou moins à justifier sa prévisibilité, mais ne pardonne pas ses détails stupides (le prêtre avec la caméra est choqué par la croix enflammée, le pistolet chargé qui attend sur la table...). Et même un final intéressant ne sauve pas les premières impressions mitigées. Mais le film mérite une troisième étoile pour avoir poussé les créateurs plus loin que ne l'aurait osé un grand film d'horreur de studio (qui aurait construit sa première heure plus intelligemment). Les décors sont chouettes aussi. ()

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claudel 

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français L’un dans l’autre, un film d’horreur décent et je pense que les Polonais s’en sont bien tirés. L’ambiance du sombre monastère situé dans un endroit isolé est construite avec soin et précision. Je ne suis pas friand de scènes répugnantes, lesquelles ne manquent pas, surtout dans la première moitié, mais c’est pardonnable. Tout au long du film, je me disais : « Bon sang, ce prieur… ce prieur… où l’ai-je vu, déjà ? » Eh bien, la dernière fois, c'était il y a belle lurette dans Le piège (Il faut tuer Sekal). Bogusław Linda, je l’ai aperçu entretemps dans des films tchèques et polonais, mais Olaf Lubaszenko, je ne l’ai plus jamais vu – jusqu’à maintenant. ()

Gilmour93 

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anglais The prior's trickery is the devil's overture! Instead of behaving, Jura Baran prays to the other side, but who knows if Baran will even meet him from below. Musty walls, a pantry for monk's stew, buzzing winged messengers of their Lord, and an impressive ending where tonight in the monastery, no one will be left standing upright. For that, Bartosz M. Kowalski deserves the fourth point of the pentagram. Mea culpa for almost giving up on it halfway through. ()

EvilPhoEniX 

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anglais A nice surprise from Poland. Bartosz M. Kowalski is the first legitimate Polish horror director and we can expect more interesting things in the future. This film has an unconventional and fairly original theme about a detective who infiltrates a monastery as a monk to investigate the recent disappearances of women's bodies, but uncovers a terrifying conspiracy in the process. It teeters between crime thriller and satanic occult horror, an attractive combination I think, all backed up by decent craftsmanship. The locations are good (the tree in front of the monastery is breathtaking), the monastery has a lot to offer. I liked the music, I enjoyed the plot, the atmosphere was dense in places and there were a few tasty touches (a spectacular throat slitting, dismembered hanging women's bodies, or flies flying out of the monk's head), and the finale with the devil and Jesus himself had some great make-up effects. The fast pace and short running time is also pleasing, I really don't have a problem with it. The fact that it was made by Poles deserves a round up to 4 stars. 7/10. ()

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