Réalisation:
Jeff NicholsScénario:
Jeff NicholsPhotographie:
Adam StoneMusique:
David WingoActeurs·trices:
Jodie Comer, Austin Butler, Tom Hardy, Michael Shannon, Mike Faist, Boyd Holbrook, Norman Reedus, Damon Herriman, Beau Knapp, Emory Cohen (plus)Résumés(1)
Dans les années 1960. L'ascension d'un club de motards fictif du Midwest vu à travers la vie de ses membres passant d'un lieu de rassemblement pour les marginaux locaux à un gang plus dangereux. (Universal International FR)
Vidéo (11)
Critiques (11)
Une œuvre louable qui dépoussière le bon vieux milieu des motards et prend plaisir à construire une histoire et des personnages. Avec une distribution et un jeu d’acteurs formidables. Une Jodie Comer fragile parmi des personnages de durs à cuire qui ne sont à leur place nulle part et qui, par conséquent, se retrouvent ensemble. Les grognements et les regards de Tom Hardy n’ont jamais été aussi expressifs et le beau rebelle Austin Butler donne au film l’esprit de la version la plus emblématique de l’Amérique cinématographique (James Dean). The Bikeriders est un film à l’ancienne qui plaira aux amateurs de jeux d’ensemble, qui n’a pas besoin d’une intrigue sophistiquée pour divertir à chaque scène et dont le dénouement reste imprévisible jusqu’à la fin. La scène la plus cool et la plus originale du film, à la fois romantique et machiste, est peut-être celle où Butler drague Jodie Comer devant sa maison. ()
Jeff Nichols réussit à créer une ambiance rétro agréable, mais il reste en surface avec les personnages. Bien que le scénario essaie de me convaincre que chacun des nombreux personnages a un passé, voire un futur, je n'ai pu m'attacher à aucun d'eux. D'après moi, des personnages aussi unidimensionnels ne peuvent pas porter le poids du récit. Par ailleurs, dans un film de motards, je m'attendrais à plus de moments eye-candy, à des paysages impressionnants et à des prises de vue plus originales. Mais de tout ça, il n'y a pas grand-chose. [KVIFF 2024] ()
Pretty weak. Ironically, it's where the film should have started. Because it's not until the last 10 minutes that we find out that the gang is in full swing (prostitutes, drugs, murders), so what we wanted to see will be in the sequel, which won't come. So if it wasn't for the guy gangster shit, I was hoping to at least enjoy the bikes, but NOPE, even those are scarce here. Mainly, it deals with relationships. Tom Hardy and Austin Butler were good, but apart from one burnt down pub and an “almost” rape, nothing interesting happened for two hours, and after the promising trailer, I see that as underwhelming. I didn't completely suffer, but then I'm not happy with the outcome either. At least the cameos of more familiar faces will be nice. 5/10. ()
A quality film, but not made for me, thematically and emotionally it missed me completely - and if I hadn't been at the cinema , I probably wouldn't have made it to the end. I can't tune in to see the characters as at least partially sympathetic libertarian rebels. To me, they all came off as irresponsible buffoons from the start. ()
The Bikeriders rides the wave of nostalgia. The cast is definitely trendy, but the story feels like filler between Danny Lyon's photos. It's not really important that the inspiration from The Wild One seemed somewhat archaic even in the sixties. What matters is that the tradition of Easy Rider continues. ()
Photos (34)
Photo © 20th Century Studios
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