Jusqu'au bout du monde

  • États-Unis The Dead Don't Hurt (plus)
Bande-annonce 2

Résumés(1)

L’Ouest américain, dans les années 1860. Après avoir fait la rencontre de Holger Olsen (Viggo Mortensen), immigré d’origine danoise, Vivienne Le Coudy (Vicky Krieps), jeune femme résolument indépendante, accepte de le suivre dans le Nevada, pour vivre avec lui. Mais lorsque la guerre de Sécession éclate, Olsen décide de s’engager et Vivienne se retrouve seule. Elle doit désormais affronter Rudolph Schiller (Danny Huston), le maire corrompu de la ville, et Alfred Jeffries (Garret Dillahunt), important propriétaire terrien. Il lui faut surtout résister aux avances plus qu’insistantes de Weston (Solly McLeod), le fils brutal et imprévisible d’Alfred. Quand Olsen rentre du front, Vivienne et lui ne sont plus les mêmes. Ils doivent réapprendre à se connaître pour s’accepter tels qu’ils sont devenus… (Metropolitan FilmExport)

(plus)

Vidéo (3)

Bande-annonce 2

Critiques (4)

Goldbeater 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Viggo Mortensen apporte sa contribution en tant que réalisateur, scénariste, producteur, acteur et même compositeur, dans un fils qui se déroule dans la Californie de la seconde moitié du 19e siècle. Toujours remarquable, Vicky Krieps y brille dans le rôle de Vivienne, une jeune femme pourtant résiliente qui découvre, à travers le récit, les dures réalités d'être une femme dans le Far West. Derrière la caméra, Mortensen se révèle être un artisan compétent, mais sa narration est légèrement décousue (les sauts temporels semblent un peu infondés et désordonnés) et l'atmosphère ténébreuse est, il faut le dire, languissante. On peut en tout cas apprécier les paysages californiens magnifiquement filmés et judicieusement choisis, ainsi que la chimie palpable entre les deux acteurs centraux. [KVIFF 2024] ()

POMO 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Jusqu’au bout du monde est prévisible et mièvre au point d’en être naïf. La logique de la rencontre du personnage principal avec le méchant avant le règlement de compte final est pour le moins ridicule. Et quand on ne sait pas comment terminer, on montre l’océan. Ce qui, même si cela fonctionne pour ajouter de la profondeur, est une astuce bon marché qui peut être appliquée à n’importe quel drame. La performance de Vicky Krieps est le seul élément du film qui soit supérieur à la moyenne. Viggo Mortensen est un comédien caméléon sympathique et admirable, et c’est bien qu’il s’essaie à ses propres créations originales, mais... [Festival international du film de Karlovy Vary] ()

Annonces

Stanislaus 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais (KVIFF 2024) When I first looked at the synopsis, the plot of The Dead Don’t Hurt reminded me a lot of the twenty years older Cold Mountain, which also dealt with the separation of two partners due to the man's enlistment in the army and the related plight of a lonely woman in 19th century America. Viggo Mortensen, who directed, wrote, starred and scored the film, tells the story of Vivienne and Holger, for whom life has provided beautiful but also bitter moments, and you can feel that Mortensen has put a lot of effort into the film. From an audiovisual point of view, it is a well done piece with beautiful locations and spare music, but in terms of narrative I was bothered by the sometimes rather random jumps between the three time planes; I was also surprised by the creative decision to give away one of the important plot twists right at the beginning. Better three stars! ()

Filmmaniak 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais This western melodrama about a strong female protagonist who suffers the cruel fate that women in the American West often experienced in the second half of the 19th century is pervaded with criticism of the wealthy elite, who are not subject to punishment and can buy everything and everyone and bend justice to their own benefit. Krieps and Mortensen are good in the lead roles and occasionally make do only with precise, wordless expressions that say everything, and Solly McLeod capably supports them in his role as the main antagonist, a dangerous headcase. The picturesque landscapes and poignant music (also by Mortensen) are especially memorable. However, the plot is unpleasantly disjointed due to the narrative being divided into three time levels, between which it constantly and somewhat laboriously jumps back and forth. Furthermore, the storyline focused on the heroine’s childhood does not enrich the story much and the non-linear arrangement of individual events unfortunately makes it impossible for the cathartic and emotional moments to resonate properly. ()

Photos (22)