Résumés(1)

La vie de Parthénope de sa naissance dans les années 1950 à nos jours. Une épopée féminine dépourvue d’héroïsme mais éprise de liberté, de Naples, et d’amour. Les amours vraies, indicibles ou sans lendemain qui vous condamnent à la douleur mais qui vous font recommencer. Le parfait été à Capri d’une jeunesse insouciante malgré un horizon sans issue. Autour de Parthénope, les Napolitains. Scrutés, aimés, désillusionnés et pleins de vie, que l’on suit dans leurs dérives mélancoliques, leurs ironies tragiques et leurs moments de découragement. La vie peut être très longue, mémorable ou ordinaire. Le temps qui passe offre tout le répertoire des sentiments. Et là, au fond, proche et lointaine, cette ville indéfinissable, Naples, qui ensorcèle, enchante, hurle, rit et peut nous faire mal. (Cannes Film Festival)

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Critiques (3)

IviDvo 

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français Le nouveau film de Sorrentino, sorti à Cannes, est un poème enivrant qui rend hommage à la jeunesse et à la beauté humaine (féminine) — comment faire autrement ? —, et je dois avouer que j’ai été complètement happée et enchantée par la première moitié. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu des plans aussi visuellement captivants et perfectionnés. J’ai aimé le personnage de Parthénope, car elle est consciente de sa beauté, mais je n’ai pas trouvé qu’elle en profitait, au contraire, elle connaît très bien sa valeur, elle n’est pas seulement belle, mais aussi intelligente et ambitieuse. Malheureusement, l’enthousiasme est progressivement retombé dans la seconde moitié car le personnage principal a cessé d’agir... de manière logique ? Je n’ai pas vraiment sympathisé avec ses actions et certains événements. J’ai cessé d’y voir un sens ou un intérêt. En fin de compte, tout le film repose sur la beauté de l’actrice principale et sur les images magistrales, mais malheureusement cela ne suffit pas. [Festival de Cannes 2024] ()

POMO 

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français La poésie visuelle de Sorrentino rend hommage à Naples et à la beauté féminine (comment faire autrement). Le premier tiers du film offre une belle présentation des personnages, parmi lesquels l’écrivain joué par Gary Oldman domine non seulement en termes d’interprétation, mais aussi de caractère. Par la suite, le film contient de plus en plus de fragments d’émotions dont le contexte et la signification dans l’intrigue m’échappent, ce qui diminue l’enthousiasme pour la forme de leur présentation. Qu’est-ce que ce personnage du prêtre laid du type « la belle et la bête » qui doigte Parthénope dans l’église était donc censé signifier ?? Deux étoiles et demie. [Festival de Cannes] ()

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Filmmaniak 

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anglais As much as I absolutely love some of Sorrentino’s films, with Parthenope the Neapolitan native has completely burnt himself out and repeated himself, turning out a work of pure visual pretentiousness that is uninventive, stale and completely hollow. Everything in the film revolves almost exclusively around the physical appearance of the main protagonist (or rather the actress portraying her), while the way of admiring the beauty of women’s bodies seems coarse and lewd. The dialogue pretends to be deeply philosophical, but the film drowns in nonsense (e.g. “feminine beauty is like war; it opens doors”) and melodramatic motifs that are completely emotionally empty. This masterclass in filming empty filler scenes with no narrative value is the equivalent of a two-hour commercial for a luxury perfume. ()

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