Résumés(1)

Rangoon, Birmanie, 1917. Edward, fonctionnaire de l’Empire britannique, s’enfuit le jour où il devait épouser sa fiancée Molly. Déterminée à se marier, Molly part à la recherche d’Edward et suit les traces de son Grand Tour à travers l’Asie. (Cannes Film Festival)

Critiques (2)

IviDvo 

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français Je ne pense pas pouvoir mieux noter Grand Tour. J’aimerais mettre cela sur le compte de la fatigue ou de l’excès de climatisation dans la salle, qui a rendu l’expérience un peu désagréable, mais je ne pense pas que ce soit entièrement le cas. Le résumé du film attire le spectateur avec l’histoire d'un homme qui fuit sa fiancée juste avant leur mariage et s’embarque dans un voyage éprouvant à travers l’Asie, mais aussi avec l’histoire de la fiancée elle-même, qui veut se marier à tout prix, et qui voyage donc avec détermination sur ses traces pour le retrouver. Ce que le résumé ne vous dit pas, c’est que cette histoire, qui est jouée mais aussi en grande partie simplement narrée, représente environ la moitié du film. En fait, l’ensemble est entrecoupé de séquences « documentaires » essentiellement anciennes, mais aussi plus modernes, de collages de la vie ordinaire, de la culture et des coutumes quotidiennes des endroits où les ex-fiancés viennent d’arriver. Je peux comprendre que Cannes ait décerné au réalisateur le prix de la mise en scène, car ce concept est sans précédent... mais je n’ai pas aimé cette composition, ou alors je n’ai pas encore mûri au point d’être capable de comprendre et d’apprécier cette forme d’art. [Festival de Cannes 2024] ()

Filmmaniak 

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anglais In the early 20th century, an engaged couple travel separately through multiple East Asian countries, where they meet various people (for the first hour, we watch the bridegroom on the run; the second hour is focused on his fiancée pursuing him through the same locations). This black-and-white anti-romantic story largely relies on narration and is frequently interspersed with documentary shots from the present including, for example, several karaoke performances, as well as demonstrations of various forms of Asian folk theatre. The result is a formalistically experimental exhibition of plot filler with a somnambulant pace, but its feel for atmosphere and imaginative work with cinematic storytelling cannot be denied. Otherwise, however, this almost meditative ode to East Asian culture and history is too hard to digest. ()

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