Hostel : Chapitre ll

Paradoxalement, le budget plus élevé n'a fait que nuire à la suite, car l'incompétence de Roth en matière de scénario et de réalisation est encore plus criante dans un emballage formel de meilleure qualité. Cela ne vaut même pas la peine de commenter sa tentative de psychologisation sur le thème du meurtre et de la culpabilité. Une unité en or - certes horrible mais avouez-le bon marché, de série B et stupide - une étoile... (19/05/2011)

Eli Roth a refait le même film. On dirait une copie conforme, avec juste quelques différences mineures. Notamment les personnages centraux qui ne sont plus des jeunes hommes, mais bien de ravissantes jeunes filles, et un Jan Vlasák qui a fait place à Milan Kňažko. Étonnamment, je n’ai pas trouvé ce deuxième opus si mauvais que ça ; il n’était pas aussi moche, insupportable et barbant que le premier. J'espère juste qu'Eli Roth ne remettra jamais les pieds en République tchèque ! (16/06/2009)

Un ennui mortel que même une jolie fille déchirée par une faux ne peut rendre meilleur. (20/02/2011)

A bit worse than the first Hostel, but with some very good scenes. Overall, it’s a slightly above-par film that shouldn’t disappoint fans of the exploitation subgenre. The ending is quite impressive. (24/12/2007)

Again, absolutely idiotic, but still better than the first installment. During the scene of the dramatic march towards the beginning of the torture, with Slovak folk music in the background, I had an uncontrollable fit of laughter, just like when I realized that I knew both torturers from Desperate Housewives, and seeing them in such supporting roles, which they both enjoyed to an almost perverse degree, was truly an experience. However, I can't go higher than an unserious one-star rating. The whole concept of Slovakia and the extremely stupidly graded story is disgraceful. (04/07/2007)