Confession d'un cannibale

Si vous n'avez pas envie de voir un homme couper le pénis d'un autre homme, le faire cuire à la poêle et le servir à table, où ils partageront un délicieux dîner aux chandelles, ne regardez pas ça. Ce n'est pas un Ridley Scott esthétique. Rohtenburg plonge dans la psyché d'un cannibale et de sa victime, le fait de manière digne, avec des acteurs de qualité, à travers des images sombres et dérangeantes, sans scènes d'exploitation gratuites, mais finalement il ne résout rien, même l'héroïne principale qui voulait trouver des réponses à des questions difficiles, mais vous déstabilise et vous fait pleurer. À quoi bon ? JEREMIE (05/12/2011)

It’s not horror, it’s not suspense or even a thriller, it’s a drama; a very slow and lengthy drama. Technically, there’s hardly anything to complain about, this is something that will either suit your mood or it won’t. It didn’t suit mine. (31/01/2012)