Nanga Parbat - L'ascension extrême

  • Allemagne Nanga Parbat
Bande-annonce

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Les frères Messner, deux alpinistes italiens hors pair, participent en 1969 à l'ascension du Nanga Parbat, au Pakistan, l'un des plus hauts sommets du monde. Le mauvais temps et rivalités entre les deux frères vont leur rendre la tâche encore plus diffice. Pourtant, ils parviendront à atteindre leur but. C'est lors de la descente par l'autre versant que la situation va empirer... (texte officiel du distributeur)

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Critiques (3)

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POMO 

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français Ne vous attendez pas à une aventure himalayenne grandiose. Nanga Parbat est plus proche des films de Werner Herzog que de son concurrent allemand Duel au sommet, qui captive et émeut les masses de spectateurs. Vilsmajer n'emprunte pas le chemin d'un récit raconté de manière épique, il présente l'histoire de manière condensée. Il ne s'approche même pas des personnages. L'ascension de la montagne, que j'attendais avec le plus d'impatience, se fait en vingt minutes, et même avec elle, on n'a pas l'impression d'être sur un huit mille avec les personnages. Le film a un aspect assez studio, il manque d'interaction entre les acteurs (ou les cascadeurs) et le véritable Nanga Parbat. Il n’y a aucune raison de ne pas penser que tout a été tourné dans les Alpes. À cet égard, le film américain K2 était plus « himalayen ». D'un autre côté, le film est basé sur une histoire vraie (Messner lui-même a pris part au tournage), vous n'avez donc pas à craindre l'héroïsme exagéré, le pathétisme ou les scènes larmoyantes. Le film ne ralentit, ne reprend son souffle et sa fatalité que dans le dernier tiers, qui met en scène la descente de la montagne. C'est alors que va se produire la tragédie qui a marqué la vie du roi des montagnards. C'est seulement à ce moment-là qu'il acquiert une dimension plus profonde, une singularité et une atmosphère puissante, dans laquelle la musique de Santaolalla joue un rôle significatif. ()

Malarkey 

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anglais The fact that Nanga Parbat would not be an easy mountain to climb was clear to me already as I waited and stared at the commercials. Otherwise, they wouldn’t have made this story of two brothers climbing it. Still, when I watched the film, I couldn’t believe how difficult and demanding it must have been. The creators did a great job here, as did the actors. The shots of the Himalayas were also absolutely fantastic, and if it weren’t for the unnecessary rawness at the expense of emotions, I would have given it five stars. As it is, the movie looks like something made by Werner Herzog. Brutally evocative, calculating and cruel. ()

agentmiky 

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anglais The name Reinhold Messner is certainly known by a fair number of people at least once in their lives. However, most people, including myself, don’t know much about his life story, so I appreciated this biographical film from our western neighbors. I liked that the creator didn’t push too hard on the emotional front, resulting in a film that at times felt almost documentary-like, presenting the viewer with a wealth of information and historical facts. If you can get past this (for example, Everest delved much more into emotions), you’ll find a solid drama. The shots of the snow-capped peaks and the surroundings of Nanga Parbat have their charm. The tragedy of losing his brother comes toward the end of the film. So, in summary... It’s a decent film for expanding your knowledge, but for a higher rating, it was lacking some memorable scenes; it felt a bit more sterile than I would have ideally liked (probably related to the director’s style, as I mentioned). 6.5/10 ()