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Dans la petite ville de Riverton, la légende clame qu'un serial killer a juré de revenir assassiner les sept enfants nés la nuit où il est mort. Aujourd'hui, seize ans plus tard, de nouvelles personnes disparaissent. Le psychopathe s'est-il réincarné dans l'un des sept ados, ou a-t-il survécu à cette nuit où il fut laissé pour mort? (texte officiel du distributeur)

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Critiques (2)

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POMO 

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français Wes Craven mélange le schéma du tueur d'adolescents avec l'insécurité schizophrène du personnage principal et l'étrange symbolisme du prédateur mangeur de charognes, et le résultat est un ragoût tellement incroyablement foiré de moments WTF qu'il est difficile de croire que le même créateur ait réussi, l'année suivante, à réaliser le volet le plus sophistiqué de la série Scream. JEREMIE ()

J*A*S*M 

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anglais Nonsense with a killer disguised as a condor! The trailer was not that bad, but the feature length could not hide Craven’s weaknesses (he’s never been consistent, so the hopes that the fourth Scream will be good remain alive). At times, it felt as if the plot of My Soul to Take had come from yet unexplored corners of screenwriting stupidity. It’s dumb, ridiculous, without atmosphere and with zero interesting murders. In modern slashers, it’s not enough for the killer to eviscerate their victims once with a knife (mostly out of frame). Also, Bug, the blond guy, is probably the most moronic protagonist since the invention of cinema. This film intellectually raped, murdered, buried, unburied and desecrated me. I don’t recommend it. ()