La Planète des Singes : Les origines

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Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d'Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus: ils découvrent que la substance utilisée permet d'augmenter radicalement l'activité cérébrale de leurs sujets. César est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d'une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l'entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l'homme dans un combat spectaculaire. (20th Century Fox FR)

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Critiques (18)

Filmmaniak 

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français La Planète des singes : Les Origines est un retour civilisé à l'atmosphère des années soixante avec une portée considérable et des astuces à la hauteur, principalement grâce au génie d'Andy Serkis. Ironiquement, c'est si humain, intelligent, plein d'émotion et avec beaucoup de clins d'œil aux fans de La Planète des singes avec Heston. Une très agréable surprise à laquelle je souhaite bien du succès. ()

claudel 

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français Un moment de toute beauté, relevé par la fascination qu’engendre le milieu très particulier du complexe de cinéma à Varsovie. Bravo, même à Paris, je n’ai pas eu droit à ça ! ()

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POMO 

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français Les regards des singes deviennent progressivement plus sincères et expressifs que ceux des acteurs vivants et, au début, le scientifique leader James Franco et sa compagnie deviennent de simples buissons. En d'autres termes : « Rise of the Planet of WETA Workshop ». La magie cinématographique d'un monde fantastique, un rythme rapide, de nombreuses idées visuelles et scénaristiques, une action parfaite, des torrents d'émotions, un message écologique subtilement esquissé, et surtout, une image constamment positive et réjouissante, sans avoir besoin de ténèbres et de violence, même s'il traite de sujets sérieux. Il est impossible que cela n'ait duré qu'un peu plus de 100 minutes. Pour moi, un coup de cœur, une expérience cinématographique parfaite et le blockbuster le plus agréable depuis le milieu des années 90 (Jurassic Park, Twister). Et je pensais que c'était moi qui n'arrivais pas y retourner… ()

Matty 

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anglais A film at the right time. Instead of Godzilla-style destructive action, Rise of the Planet of the Apes offers up a game of who is the master and who rules whose territory and relativising a number of genre rules. The apes overshadow all of the live actors, who don’t even aspire to become heroes through their actions. Rodman’s liberalism isn’t far from the attitude of “do what you want; I can’t do anything anyway”. The character who undergoes complicated internal development, who literally evolves (as shown in the breathtaking scene with a tree), is Caesar, who is predestined by his name and intelligence to do great things. It’s been a long time since I’ve seen anyone act so convincingly with their eyes. In the scenes when it raises questions, Rise of the Planet of the Apes is more impressive than when it attempts to answer them. While the secondary romantic storyline had already aged in its presentation and impact on the plot when the film was released in cinemas, man’s manipulation of nature as it is presented here will remain topical, if there is any nature left in twenty years. That’s not to mention a number of other possible interpretations that arise after looking over the current news of the world (why should the “right” to a more fulfilling life belong only to selected individuals). With its briskly presented attractions for both the eye and the mind (or for both at once, in the best case), Rise can be enjoyed as a summer blockbuster without guilt, regardless of the numerous meanings that it contains. For example, in evoking the impression of movement, Wyatt achieves the intensity of The Bourne Ultimatum in the scenes of Caesar’s continuously filmed actions. The British invasion of Hollywood is thus progressing as successfully as our “advanced” civilisation’s journey to self-destruction. 85% ()

J*A*S*M 

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anglais Leaving aside Green Hornet, which came out in winter, this is the first blockbuster of the year that managed to not only meet my expectations, but to surpass them, too. If you really wanted to dig into it, you’ll find loads of inconsistencies in logic, but this film is so entertaining, genuine and emotional that I will not get into that. The old classic can be glad to have such a good young sibling, It has nothing to be ashamed of. I loved the references and I would love to take little Caesar home :) ()

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