Italie,
1970, 109 min
(alternative 105 min)
Réalisation:
Enzo BarboniScénario:
Enzo BarboniPhotographie:
Aldo GiordaniMusique:
Franco MicalizziActeurs·trices:
Terence Hill, Bud Spencer, Farley Granger, Gisela Hahn, Dominic Barto, Riccardo Pizzuti, Luciano Rossi, Pietro Torrisi, Alberto Dell'Acqua (plus)VOD (1)
Résumés(1)
Trinita et Bambino sont deux demi-frères aux physiques et caractères diamétralement opposés. L'un est longiligne et séducteur, l'autre massif et bougon. Ensemble, ils repoussent les assauts de bandits mexicains qui souhaitent attaquer une colonie de mormons. (Théâtre du Temple)
Acteurs·trices
Ezio Marano
Italie
Meilleurs films :
On l'appelle Trinita (1970)
Ginger et Fred (1986)
Deux super-flics (1977)
Angelo Casadei
Meilleurs films :
Ludwig ou Le Crépuscule des dieux (1973)
On l'appelle Trinita (1970)
On m'appelle Providence (1972)
Ugo Sasso
Italie
Meilleurs films :
On l'appelle Trinita (1970)
David e Golia (1960)
Ercole sfida Sansone (1963)
Franco Marletta
Meilleurs films :
On l'appelle Trinita (1970)
Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (1970)
Seule contre la mafia (1970)
Paolo Magalotti
Meilleurs films :
L'Extase et l'agonie (1965)
On l'appelle Trinita (1970)
...e per tetto un cielo di stelle (1968)
Alba Maiolini
Italie
Meilleurs films :
Avanti ! (1972)
On l'appelle Trinita (1970)
Roma violenta (1975)
Sergio Smacchi
Meilleurs films :
Pair et impair (1978)
On l'appelle Trinita (1970)
Roma violenta (1975)
Sergio Testori
Meilleurs films :
Et maintenant, on l'appelle El Magnifico (1972)
Waterloo (1970)
On l'appelle Trinita (1970)
Antonio Monselesan
Libye
Meilleurs films :
Et maintenant, on l'appelle El Magnifico (1972)
On l'appelle Trinita (1970)
On continue à l'appeler Trinita (1972)
Dan Sturkie
États-Unis
Meilleurs films :
On l'appelle Trinita (1970)
Barabbas (1961)
Cinq hommes armés (1969)
Luigi Bonos
Empire allemand
Meilleurs films :
Douze et un (1969)
On l'appelle Trinita (1970)
On continue à l'appeler Trinita (1972)
Augusto Funari
Meilleurs films :
On l'appelle Trinita (1970)
On m'appelle Providence (1972)
On continue à l'appeler Trinita (1972)