Beetlejuice Beetlejuice

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Bande-annonce 2

Résumés(1)

Après une terrible tragédie, la famille Deetz revient à Winter River. Toujours hantée par le souvenir de Beetlejuice, Lydia voit sa vie bouleversée lorsque sa fille Astrid, adolescente rebelle, ouvre accidentellement un portail vers l’Au-delà. Alors que le chaos plane sur les deux mondes, ce n’est qu’une question de temps avant que quelqu’un ne prononce le nom de Beetlejuice trois fois et que ce démon farceur ne revienne semer la pagaille. (Warner Bros. FR)

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Critiques (2)

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Goldbeater 

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français Je ne suis pas fan du Beetlejuice original, donc je n'avais pas d'attentes en allant voir cette suite, mais ce n'est décidément pas ma tasse de thé. Je regrette que Burton ait troqué sa morbidité autrefois stylée et fraîche contre une morbidité infantile et recyclée. À part les moments où Michael Keaton balance ses répliques (ce qui fait vraiment la force des deux films), tout le reste de l'humour m'est complètement passé au-dessus de la tête. La solidité de l'intrigue est comparable à celle d'un château de cartes. Et la manière dont les méchants sont traités montre qu'ils ne sont qu'un prétexte pour faire avancer l'histoire. Quant aux personnages principaux, ils sont à la limite du supportable. J'apprécie le retour aux effets pratiques et à l'animation en stop-motion (après tant d'années, Tim Burton a enfin réalisé un film dont le visuel ne me donne pas envie de vomir), mais ça ne rattrape pas vraiment l'impression générale que me laisse le film. ()

Malarkey 

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anglais Tim Burton is finally off the leash again, and honestly, it was about time. Where better to let loose than with the world he first introduced us to, packed with his signature quirky ideas? And he absolutely delivers. A sequel more than 35 years later is a bold move, but as a fan of Burton’s work, I can confidently say it was worth the wait. The only drawback for me was the somewhat rushed script. It opens up a bunch of storylines, then scrambles to tie them all together for an epic, totally off-the-wall finale that feels very Burton-esque. But by the end, you realize some things didn’t quite need to be there, didn’t make much sense, or were just unnecessary. Case in point: Monica Bellucci. Let’s be real—there are obvious reasons why Burton included her, but she didn’t add much to the story. That said, I’m still satisfied. This is what filmmaking should be—full of creativity, fun, and humor, with a cast that’s clearly having a blast. ()