Résumés(1)

Benni a neuf ans. Négligée par sa mère, elle est enfermée depuis sa petite enfance dans une violence qu’elle n’arrive plus à contenir. Prise en charge par les services sociaux, elle n’aspire pourtant qu’à être protégée et retrouver l’amour maternel qui lui manque tant. De foyer en foyer, son assistante sociale et Micha, un éducateur, tenteront tout pour calmer ses blessures et l’aider à trouver une place dans le monde. (Ad Vitam)

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Vidéo (4)

Bande-annonce 1

Critiques (7)

Goldbeater 

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français En gros, Benni est un drame intransigeant et désagréablement bruyant sur une enfant qui, à cause de traumatismes du passé, devient dangereuse pour elle-même et pour son entourage. Mais comment l’aider ? Commence alors une ronde de mesures éducatives qui échouent systématiquement sans l’ombre d’une solution à l’horizon. Pendant deux heures, le film tourne en rond et se répète sans cesse : on avance, on espère, on est déçus et c’est reparti pour un tour. Nora Fingscheidt a voulu susciter la frustration du public à travers une situation désespérée, mais pour moi, ça suffirait sur un film de quatre-vingt-dix minutes. En fait, au bout d’une heure, je me disais déjà qu’on pourrait tout doucement passer à la fin. D’autant plus que les informations assez essentielles détaillant le traumatisme de la petite Benni en question et surtout qui le lui a infligé (voire quel rôle y a joué sa mère, personnage clé du film) ne sont jamais révélées. Et je me permets de terminer sur une petite remarque caustique : le fait qu’une fillette de neuf ans parvienne chaque fois à semer les adultes qui la poursuivent est de l’affabulation pure. Cela dit, je considère quand même que ce film vaut la peine d’être vu. [KVIFF 2019] ()

Filmmaniak 

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français Un drame intense sur une petite fille agressive et souffrant de crises de colère, que sa propre mère craint, et que les services sociaux se repassent comme un jeu de « Mistigri ». De loin le film le plus acclamé de l'année, qui peut également servir de long métrage publicitaire pour la contraception, avec de grands acteurs et un aperçu empathique des préoccupations des travailleurs sociaux, dont le sentiment d'impuissance, de menace et de terreur permanente est habilement transmis aux spectateurs. Le film excelle à créer la peur de la prochaine crise de l'héroïne et offre toute une série de scènes étonnamment glaciales, mais dans sa deuxième moitié, il s'embourbe un peu trop longtemps dans un cercle vicieux, incapable de trouver une issue satisfaisante à cette souffrance ()

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Malarkey 

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anglais I had no idea that an uncontrollable child is referred to as a "system crasher" in Germany. But I was fascinated by how vibrantly, humanly, and rawly the director brought this concept to life in her debut film. I was captivated and enjoyed every minute of it. This film made me ponder whether things are any different in my country, or if we also face endless bureaucracy and a lack of more humane approaches within the confines of the rules. I suspect it's not much different here. The real question is, how many system crashers does our own society produce today? ()

Gilmour93 

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anglais Child's Play: Don't touch my face! I assume that the cyclical nature of the plot was meant to emphasize the hopelessness of the situation and exhaust the viewer, who encounters it for only two hours and from a detached perspective. The result is a “non-family film,” followed by admiration for those who try to chew through a morsel that was too large for its creator and then still have to somehow swallow it. ()

EvilPhoEniX 

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anglais Germany serves up a dense, emotional, nerve-wracking, chilling and uncomfortable drama in the manner of the Scandinavians, and it's powerful! I was similarly torn by Nothing Bad Can Happen last time I saw a Germ film, and this one was similarly strong. The story focuses on a ten-year old girl who is literally a System Crasher. Her mother can't handle her and is actually scared of her, the social workers don't know how to handle her either, in fact no one can handle her at all and she is a terror to everyone. She's a ticking time bomb that could go off at any time. I personally didn't feel sorry for her because I don't sympathize with psychopaths regardless of age, especially considering the horrors they do to those around them. The highlight is the scene on the ice, unexpected directorial courage! The film has some uncomfortable and adrenaline pumping scenes and at times is not really fun to watch. One of those films that will leave something in you and if you don't have kids, you certainly won't be longing for the experience. Story*****, Action>No, Humor>No, Violence***, Entertainment****,Music***, Visual***, Atmosphere****. 8/10: ()

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