Le Pouvoir du chien

  • Grande-Bretagne The Power of the Dog (plus)
Bande-annonce 2

Résumés(1)

A domineering, magnetic rancher responds with mocking cruelty when his brother brings home a new wife and her son, until the unexpected comes to pass. (Netflix)

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Bande-annonce 2

Critiques (11)

Goldbeater 

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français Dans la première moitié, Power of the Dog présente un jeu psychologique très intéressant et engageant entre les personnages centraux, où l'on attend et souhaite que leurs frustrations mijotent tranquillement en eux pour ensuite exploser violemment à la surface. Mais ce n'est pas le cas, la seconde moitié étant tellement prévisible et peu excitante qu'on en vient presque à regretter le début prometteur. Quoi qu’il en soit, Benedict Cumberbatch m'a convaincu, pour la première fois, qu’il était un grand acteur – peut-être la seule bonne raison pour regarder ce film. Une autre bonne raison serait l’impressionnante BO. ()

claudel 

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français Voici que Netflix me surprend positivement pour la deuxième fois, alors que je suis toujours plus enclin à voir ses séries que ses films. Ainsi, après The Lost Daughter, j'ai vu aujourd'hui The Power of the Dog et dans les deux cas, personne ne peut spéculer sur le fait que Netflix avait prévu un déferlement de vues. Les deux films sont très intimistes, psychologiquement soignés et excellents quant à leurs distributions. Si Benedict Cumberbatch ne remporte pas d'Oscar le soir du 27 mars, je considérerai que c'est hautement injuste. Oubliez le Britannique propret et distingué, car ici, il joue un bouvier crasseux, mal lavé, négligé, mais farouchement intelligent et déchiré par une ambivalence intérieure. Une performance phénoménale, par ailleurs parfaitement complétée par le reste du casting. Je n'avais pas vu Kirsten Dunst dans un film depuis longtemps, mais visiblement, elle n'a pas perdu la main ! Un grand moment de cinéma du début à la fin. ()

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POMO 

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français Un lent drame domestique dans un environnement automnal froid, où les sentiments sont à peine évoqués mais les tensions entre personnages sont palpables, soutenus par une musique dramatique, parfois même de type thriller. Jane Campion retourne au piano et cette fois-ci évite tous les clichés narratifs qui viennent à l'esprit du spectateur pendant le visionnage. Et avec une étude psychologique prudente des personnages, le film emmène l'histoire vers une forme artistique qui pose plus de questions qu'elle ne donne de réponses. Intéressant, singulier, festivalier. Mais ça m'a laissé froid. Cumberbatch brillant. ()

Marigold 

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anglais Humble, beautifully filmed, full of dramatic scenery and subliminal tension, which is, however, quite forcefully injected by Johnny Greenwood's sometimes shallow underscore. Campion's script is unfocused and the plot, divided into fragments, doesn't create coherent dramatic tension, and in the end it kind of depends on the power of chance, and I therefore struggled with the point rather than lived it. The strongest motif is not the son's love for his mother or the misalignment of the two reclusive characters, but rather the relationship between the two brothers, which quietly fades from the plot after about half an hour, much like Jesse Plemons outplaying the rest of the cast. The result is a diet broth of There Will Be Blood and In Fabric. An elegant piece that barks but doesn't bite. ()

Malarkey 

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anglais The Power of the Dog feels like one of those artsy dramas that teases a deeper homosexual theme, only to pivot back to a more traditional American drama set in the 1920s. In the end, it’s mostly about the pretty visuals, which, in the context of the story, don’t add up to much. Jane Campion’s style is all over this film, and while I can appreciate her work, it just didn’t click for me here. ()

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